Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid



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Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid

Sigrid Nyqvist
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(#) Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid
28.08.18 22:07

Sigrid Nyqvist

SIGRID NYQVIST
❝ La solitude, on ne l'a jamais au bon moment. ❞ — Gilles Archambault
Sigrid donne l'impression d'être plus vieille qu'elle ne n'est, quand on l'écoute, du haut de ses 37 ans, peut-être parce qu'elle ressemble à une vieille grincheuse. Elle a ses raisons de l'être et de choisir la vie en solitaire, dans une cabane au milieu de la montagne abritant Aglasse. Ce n'est pas comme si elle y était née, après tout... Elle est redevenue chasseuse depuis la fin de la guerre, et à suffisamment démontré qu'elle n'avait rien oublié des bases pour enfin être compagnon depuis peu et ne plus avoir personne dans les pattes. Après avoir été mercenaire épéiste, rien n'est plus facile que de se remettre à chasser les animaux. Elle est veuve depuis un certain temps. Moins elle côtoie de gens, mieux elle se porte. Et mieux elle se porte, mieux c'est. Les combats, ce n'est plus pour elle.
Antipathique

Distante

Ferme
Honorable

Marquée

Patiente
Endurante

Simple

Asociale

elle fait 1m84 ∴ une des raison pour lesquelles il arrive qu'elle fasse peur ∴ l'autre c'est à cause de sa musculature imposante ∴ et aussi à cause des cicatrices dues à la guerre ∴ son constant air renfrogné n'arrange rien ∴ et faut dire qu'avoir les yeux vairons est particulier ∴ elle grogne plus qu'elle ne mord ∴ elle n'avouera jamais aimer recevoir des bouquets de fleurs ∴ elle est plus féminine qu'elle ne le laisse penser ∴ la faute aux cals sur ses mains à cause de l'utilisation de l'épée ∴ ou même de l'arc ∴ elle passe un certain temps à brosser ses cheveux chaque soirs ∴ elle n'a pas peur de se salir ∴ elle n'apprécie pas vraiment les nobles ∴ elle éviter de côtoyer les gens ∴ elle a trop peur de perdre à nouveau un être cher ∴ elle apprécie les animaux ∴ un jour un feliki blessé à trouvé refuge dans sa cabane ∴ depuis qu'elle l'a soigné il n'en bouge plus ∴ c'est bien la seule présence qu'elle tolère chez elle ∴ même si ça l'agace d'avoir un animal à la maison ∴ on ne peut rien laisser traîner ∴ sinon il fout encore plus le bazar dans ses affaires ∴ elle dort très mal ∴ c'est pour ça qu'elle vit isolée ∴ elle risquerait de trancher la gorge du premier malheureux tentant de la réveiller ∴ la guerre l'a marquée tout aussi bien physiquement que psychiquement ∴ elle évite la compagnie pour dormir ∴ ou pour tout autre activité qui lui demande de baisser sa garde un instant ∴ ce sont les moment les plus dangereux pour les intrus ∴ elle ne quitte jamais son épée ∴ elle ne se sent pas bien sans elle ∴ même si elle aimerait s'en débarrasser ∴ elle n'y arrive pas ∴ elle n'aime pas montrer ses faiblesses ∴ même pour une blessure ∴ se sentir vulnérable l'agace ∴ quand elle promet quelque chose, elle tient toujours parole  ∴ étrangement, elle est plus douce avec les enfants




« La guerre n'est pas une aventure. La guerre est une maladie. Comme le typhus.»
Antoine de Saint-Exupéry

En temps de guerre, la vie est dure pour tous, mais encore plus pour les enfants. A peines mis au monde qu'ils plongent dans l'horreur et le côté le plus sombre de l'humanité; la perversion, la cruauté, le meurtre... Fort heureusement, la région n'était que peu touchée par la guerre du fait de son emplacement géographique. Mais cela n'était pas tant une chose réjouissante que ça, car avec la forêt et la montagne viennent des créatures dangereuses. Sigrid est née lors d'un hiver particulièrement froid. Ses parents étaient encore jeune quand ils ont décidé de fonder une famille, ne serait-ce que pour avoir des descendants et fournir des bras supplémentaires pour la guerre. Peu de temps après, elle eu un petit frère, d'un an son cadet. Leur père reparti bien assez vite au front, bien qu'elle n'en ai gardé aucun souvenirs, elle ne se fie qu'aux paroles des plus vieux concernant cette partie de sa vie. Sa mère s'occupa seule d'elle et de son frère, le temps de récupérer de ses deux grossesses et de faire en sorte que ses enfants n'aient plus besoin d'elle pour les confier à des amis les plus proche faisant partie d'une guilde, celle des rôdeurs. Elle ne tenait pas à ce que ses enfants rejoignent les mercenaires comme elle, elle voulait leur laisser une petite chance, aussi infime soit-elle, de vivre une autre vie que celle des champs de bataille. Ainsi, elle abandonna Sigrid et Oskar dès que leur âge fut suffisamment avancé. Ce fut un au revoir qui devint un adieu, car plus jamais on n'entendit parler d'elle, ni même de leur père. Morts au combat, pour la guerre.


« L'éducation est un apprentissage social. Elle nous aide à grandir et à vivre. »
John Dewey

Dès que Sigrid et son petit frère furent en âge pour commencer à apprendre les rudiments de la chasse et de la traque, on les mit à contribution pour toutes sortes de taches. Au début ce ne fut qu'aider à dépouiller les corps des bêtes chassées et récupérer leurs peaux et leur viande proprement. Vint ensuite la chasse de petits animaux peu farouches faciles à tuer et peu dangereux. Ils n'étaient jamais sans rien faire, ne serait-ce que pour faire vivre la maisonnée, car avoir beaucoup de bouches à nourrir n'est pas facile quant à côté les ressources sont faibles du fait de la guerre. Ils étaient traités durement, mais c'était certainement mieux que de vivre à la rue, d'autant que les hivers ne sont pas chauds en montagne. En parallèle, Sigrid grandit en côtoyant d'autres enfants de son âge. Mais dès que l'on essayait de s'en prendre à son petit frère, elle rappliquait aussi sec. Elle avait déjà perdu ses parents, elle ne comptait pas à ce que son frère les rejoignent de sitôt. Tous ceux qui cherchaient à embêter sa famille se prenaient une vraie furie dans les pattes. Elle savait comment faire mal quand elle tapait. Connaitre les faiblesses du corps animal peut être aussi utile sur les humains, après tout. Et sur les garçons ont sait généralement où frapper en premier pour faire des dégâts...


« Ce que l'amour n'oserait prendre, l'amour ose le donner. »
Denys Gagnon

Avec les premières fleurs du printemps viens l'amour. Du moins c'est ce qu'on dit. Sigrid n'a jamais vraiment été du genre demoiselle coquette comme pas permis. Ses manières sont rustres, elle ressemble à un garçon manqué, elle traîne toujours de la poussière terreuse avec elle, avec une légère odeur cuivrée dû au temps passé à vider les carcasses des animaux chassés, et pourtant... Il y eu bien un idiot pour l'aimer. Comme quoi, il faut de tout pour faire un monde. L'amour peut aussi naître en pleine guerre. C'est bien la première fois qu'elle se sentait gauche, elle qui était très habile de ses mains pour toutes les tâches qu'on lui donnait en rapport avec la chasse. On pourrait dire que les seules fois où on l'a vu rougir étaient quand il lui ramenait un bouquet de fleurs. Même si ce genre de cadeau n'est pas vraiment ce a quoi on aurait pensé pour elle. Heureusement qu'il savait lire en les lignes et ne pas partir du principe qu'elle n'aimerait pas ces attentions. Un vrai gai luron, ce vif garçon. Il a réussi son coup. Pendant que certains se demandent encore comment c'est possible, Sigrid profite de cette nouvelle sensation de liberté. Ce qui permet aussi à son petit frère de respirer un peu, parce qu'elle est beaucoup moins sur son dos. Lui a d'autres projets bien fâcheux en tête qui ne plaisent pas à sa sœur. Comme par exemple, devenir mercenaire.


« Plaisir d’amour ne dure qu’un moment, chagrin d’amour dure toute la vie. »
Jean-Pierre Florian

Cela fait une petite année que Sigrid s'est mariée avec son cher et tendre. Elle est enceinte jusqu'aux yeux, ils n'ont clairement pas perdu de temps. Ils vivent dans une petite maison qu'il a lui même construit pour eux. Le seul point noir à ce bonheur, en dehors de la guerre qui continue, c'est le départ de son petit frère, qui à finalement trouvé le courage de partir. Ça l'attriste particulièrement, car elle sait que, tôt ou tard, il risque d'y passer. Elle espère de toute son âme qu'il s'en sorte. Ce qu'il fit, étonnamment. Il s'est suffisamment bien débrouillé durant six années, et envoyait régulièrement des missives pour rassurer sa grande sœur. Sigrid, quand à elle, s'occupe de son fils et lui apprend tout autant que son père le métier de chasseur. Mais le bonheur ne dure jamais qu'un temps. Il faut toujours quelque chose pour qu'on se souvienne que la vie n'est qu'une fleur fragile qui peut être écrasée à tout moment. Ça ne devait être qu'une chasse facile comme tant d'autre. Il arrive toujours quelques incidents, c'est sur, mais rarement d'aussi... mortels. Quelle était la chance de tomber par hasard sur le territoire d'un gros prédateur ? Très faible, pas vrai ? Mais c'est arrivé, malheureusement. On ne lui rapporta que l'arc de son mari et... le collier gravé en bois de son fils. Pas de corps. Juste... Ces affaires. Elle encaissa le choc devant ceux qui avaient rapportés ces derniers vestiges, mais se laissa aller une fois partis. La vie venait de lui prendre le peu qu'elle avait. Elle ne pouvait plus rester ici. Il fallait qu'elle s'en aille. Qu'elle change de vie. Ne plus souffrir. C'est alors qu'elle quitta son foyer, sa guilde... Pour devenir mercenaire.


« La violence est ce qui ne parle pas. »
Gilles Deleuze

Nul besoin de décrire l’apprentissage qu'elle dû endurer pour devenir apte à combattre des humains efficacement, après avoir passé une partie de sa vie à traquer les animaux sauvages. On lui aurait aisément proposé l'arc comme arme de prédilection, en tant qu'ancienne chasseuse, mais les faits furent tout autres. C'est au fil de l'épée qu'elle devint une combattante. Sa carrure d'homme -mais pas trop- lui donnait un certain avantage pour le maniement d'une arme lourde et lente, mais terriblement mortelle si le coup fait mouche. Elle qui ne voulait pas combattre, la voilà servie. Au moins, il lui arrivait de retrouver son frère et de combattre à ses côtés. Même si se retrouver dans un champ de bataille remplis de corps morts et de blessés de guerre n'était sans doute pas l'endroit rêvé pour de telles choses telles que la famille. C'était le risque constant de voir l'autre mourir sous ses yeux qui les maintenait sur le qui-vive. Au moins, elle ne pensait plus à ce qu'elle avait perdu, quand elle ne pensait qu'a survivre par tous les moyens possibles, par toutes les bassesses imaginables, toutes les fourberies dont l'être humain est capable. La guerre était dure, froide, sanglante, et injuste. Elle ne se posait pas de questions, car si elle commençait, ce serait la fin. Ç'aurait été le début de l'aliénation, de se demander si "l'ennemi" était vraiment un ennemi. Au final, vous tuiez, mais... Pourquoi ? Elle ne s'était jamais posée la question avant. Pourquoi la guerre ?


« La mort détruit mais la vie dégrade. »
Jean de la Ville de Mirmont

Elle ne compte plus le nombre d'amis qui sont tombés. Le nombre d'ennemis non plus. Beaucoup ont subit le fil de sa lame, mais elle a également souffert de celle des autres. Son corps n'est pas brisé. Pas encore. Il est juste abîmé. Mutilé. Écorché. Mais elle est en vie. Est-ce que c'est le plus important ? Elle ne sait pas. Elle aimerait vraiment ne pas voir toutes ces horreurs. Mais si elle ne se bat pas, qui le fera ? Il est bien là, le vice. Cette guerre est sans fin. Trop de gens continuent de mourir pour elle. Quel est le but de cette guerre ? Il n'y a pas l'air d'y en avoir, vu le temps qu'elle dure. Il faut éviter de penser que l'on tue des êtres humains. Il faut oublier que l'on détruit des familles. Il faut oublier que certains sont à peine adultes. Que d'autres ne le sont tout bonnement pas. Il ne faut plus écouter les cris. Il ne faut pas entendre les supplications. Il faut juste suivre son instinct. Et les ordres. Ça ou la mort. Ça ou la folie. Il faut choisir. Nul ne le sait, mais la paix approche à grand pas. Seulement... Seulement... Un nouveau malheur. Son frère se prend une flèche qui lui était destinée. Elle passe aisément dans sa cuirasse. Il ne meurt pas encore, mais il ne va pas tarder à disparaître. Elle se précipite pour le rejoindre, ignorant tout. « Vis. » Ce fut son dernier mot. Son dernier souhait. Il était cruel, dans un sens. Lui demander de vivre, alors qu'elle ne souhaitait que mourir, mourir au lieu d'endurer cette souffrance d'avoir perdu un être cher à nouveau. Son sang. Sa famille. Ce qu'il en restait. Elle était la dernière. Elle était seule. Et c'est là qu'on la blessa profondément à l'épaule.


« La fiction nous permet de donner aux êtres meurtris une ultime chance de renouveau. Mais la vie, elle n'offre pas cette chance. »
Josée Coulombe

Par un coup du sort, elle s'en sort. Ou alors est-ce là une blague de très mauvais goût du destin. La voilà plus que jamais seule. Et blessée. Dans son malheur, elle eu de la chance, car elle fut en quelque sorte secourue. En tant que blessée, elle ne pouvait pas encore revenir au front. Elle n'avait pas envie de rester à attendre de guérir, mais elle ne pouvait pas bouger sous peine de rouvrir cette blessure. La voilà bien inutile. Mais d'un côté, ces quelques mois de convalescence forcée furent presque bienvenus. Elle n'avait jamais connu le repos entre les batailles, à toujours changer de campement. Mais cela ne l'empêchait pas de manquer de trancher la gorge aux infirmières de camp quand elles la surprenaient dans son sommeil. Elle n'arrivait plus à se dire qu'elle n'était plus en total danger imminent. Et c'est quand elle fut suffisamment guérie pour se mouvoir souplement qu'on annonça finalement une grande nouvelle. Une bonne nouvelle. La fin de la guerre. Si seulement celle-ci avait été décidée plus tôt... Son frère serait encore de ce monde... Maintenant que les soldats et mercenaires n'étaient plus requis pour combattre, elle pouvait rentrer chez elle. Elle décida, encore une fois, de laisser son passé d'épéiste derrière elle. De toute manière, sa blessure n'était pas suffisamment bien guérie pour manier son épée correctement. Elle n'était d'aucune utilité. Elle reprit ce qu'elle avait laissé. La chasse. Et plus jamais elle ne ferait l'erreur de choisir l'horreur. Elle s'est sentie bien plus légère durant cette année de paix. Et elle espère réellement que plus jamais la guerre ne viendra détruire cette tranquillité.

Yo. Je ne suis pas du tout une habituée, c'est faux, je nie tout. Arcanananas est dans la place, yeah. Y'a un duck qui m'a filé le lien du fow, du coup j'ai été faible. Bref. I'm here.
Yasha — Critical Role
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Saeed Kashîm
Saeed Kashîm
La Mort
La Mort


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(#) Re: Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid
28.08.18 22:13

Saeed Kashîm
Bienvenue !

5%, c'est quoi ça Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid 1782253376 On en veut pluuus !
En tout cas l'avatar est très classe, je ne connaissais pas Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid 4046091198

Bon courage pour écrire tout ça !
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Colette de Beaune
Colette de Beaune
Citoyen


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(#) Re: Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid
29.08.18 0:35

Colette de Beaune
Je te souhaite comme on dit la bienvenue dans la secte ! ♥️
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Trudi Fallenshadow
Trudi Fallenshadow
L'Ermite
L'Ermite


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(#) Re: Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid
29.08.18 1:24

Trudi Fallenshadow
BIENVENUE ICI! Cet avatar est si beau ** ♥️
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Sigrid Nyqvist
Sigrid Nyqvist
Rôdeur
Rôdeur


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(#) Re: Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid
30.08.18 22:53

Sigrid Nyqvist
SAEED > Nyeheheheh. Là c'est 100%, tu peux tout lire maintenant /OUT/
Thx 😏

COLETTE > MERCI c:

TRUDI > stap les compliments, z'allez me faire rougir Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid 1587244130
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Tempus Lumini
Tempus Lumini
Étrange inconnu


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(#) Re: Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid
31.08.18 0:58

Tempus Lumini
Fiche validée


Encore une lionne ! J'ai vraiment bien aimé ton histoire (dramaaaaaa)  Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid 2789192755
J'en perds mes mots mais -la fatigue n'aide pas- mais j'espère que Sigrid pourra avoir une suite plus heureuse  (si je te dis que je suis désolée d'avance... tu m'en voudras moins? Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid 4075804106 )

Tes compétences sont les suivantes :
Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid Nr0w Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid 2sdp Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid 1pux Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid N07a
et tu fais partie des rôdeurs!

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N'oublie pas qu'en ce moment, l'event de l'armistice est lancé! N'hésite pas à venir participer  Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid 3531977775

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(#) Re: Qui comprend l’humanité recherche la solitude. — Sigrid

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